NOS SOUVENIRS :



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- 1er avril 2007

- Pâques

-- Lauris des sens...ations

- Les vendanges

- Les poilus de 14/18

- 1er avril 2008

- Noël 2008

- Pâques 2008

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NOËL 2006 noel 2006
LA CRECHE : DU 1 DECEMBRE AU 2 FEVRIER

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        Les crèches se placent dans la tradition des Fêtes de Noël, ainsi que les pastorales qui sont jouées un peu partout dans la région. Au cours des âges, les santons furent fabriqués soit en bois, cire, plâtre, mie de pain, verre, mastic, carton, pierre. Notre santon de Provence est en argile cuite.

        Les santons sont nés pour commémorer la Nativité de Jésus Christ. La première crèche fut faite à l’initiative de St François d’Assise (1182-1226) et c’est en 1223 qu’il obtint du Pape Honorius III, la permission de célébrer la messe de Minuit dans une grotte où bêtes et hommes revivraient la Nativité. Cela eut lieu le 24 décembre au soir à Greccio, petit village des Abruzzes dans les Apenins en Italie : ce fut la naissance des crèches.

        De riches seigneurs dans leurs somptueuses demeures mirent en place des crèches composées de santons très coûteux, façonnés avec les matières diverses précisées au début du texte. Ces santons coûtaient cher et n’étaient accessibles qu’aux personnes fortunées, et les crèches n’étaient visibles que par une minorité de personnes.

        Par la suite, on représentait dans les églises le mystère de Noël : c’était de petites crèches dressées par les gens du village, et peuplées de petits personnages religieux (Marie, Joseph, le Petit Jésus, l’âne, le bœuf et les Rois Mages venus de Galilée : Gaspard, Balthazar, Melchior). Ces personnages étaient façonnés en matières diverses comme précisé au début. Ces crèches présentées dans les églises pouvaient être vues par tous ceux qui fréquentaient les églises.

        En 1792, au nom de l’esprit révolutionnaire, la fermeture des églises fût décrétée. Les catholiques provençaux ne pouvaient donc plus à l’époque de Noël, aller voir les crèches traditionnelles.

        En 1801, au mois de juillet, après la signature du Concordat entre le Pape Pie VII et le premier Consul Bonaparte, les crèches reprirent leur place dans les églises.

        En 1806, à l’initiative de Monseigneur Champion de Cice, Evêque de Marseille, les crèches sont interdites dans les églises.

        La pratique populaire des crèches dans les familles s’est véritablement instaurée à partir de la Révolution. En effet, un figuriste marseillais, Jean Louis Lagnel, eût l’idée de créer un moule de plâtre, et en utilisant un matériau bon marché, « l’argile », il représentait ces figurines, ces santons, et pouvait les reproduire par moulage autant de fois qu’il le souhaitait. Ces santons moulés en argile ne coûtaient pas cher et étaient accessibles à toutes les bourses. En Provence, le santon fut décrété « fils de la République » : nous étions en 1798. Toutes les familles qui le désiraient pouvaient désormais adopter la tradition de faire la crèche chez soi, à la période de Noël.

        En 1889, une aubagnaise, Thérèse Neveu (1866-1946) crée pour sa crèche de mariée, des santons de 18 cm, prenant comme modèle des personnages aubagnais, de sa famille et des personnages typiquement provençaux pratiquant des métiers, aujourd’hui disparus.

        Dans ces personnages, on reconnaît entre autres, le berger couché sous les traits de M. Neveu, l’aveugle et son fils (M. Neveu et son fils Etienne), la femme au panier (Tante Annette), l’homme assis (Henri Fabre, l’entomologiste), la vendeuse de lapins (Virginie de Garlaban), Margarido, Roustido, le tambourinaire, le chasseur sous les traits de Frédéric Mistral.

        Tous ces nouveaux personnages venaient ainsi rejoindre les personnages religieux qui figuraient dans les crèches traditionnelles en hommage à la Nativité.

        Thérèse Neveu est l’ancêtre de nos santonniers, et Aubagne est devenue la capitale du santon. La première foire aux santons s’est tenue en 1803 à Marseille. C’est Mme Jouglas de Marseille qui créa le santon habillé. De ce fait, les crèches nous rappellent la Provence, figurines de personnages ayant vécu et pratiqué des métiers aujourd’hui disparus, habits d’époque, décors de villages provençaux.

Les Rois Mages :

        Gaspard : de race noire, africaine, il symbolise la jeunesse, il est vêtu de bleu et offre l’encens réservé aux Dieux.

        Balthazar : de race sémite, il symbolise l’âge mûr, il est vêtu de rouge, il offre l’or réservé aux Rois.

        Melchior : de race blanche, il symbolise la vieillesse, il est vêtu de vert, il offre la myrrhe réservée aux mortels.

Les_Pastorales :

        elles font partie de la tradition à la période calendale. C’est Antoine Maurel qui en 1844, créa la première pastorale qui porte son nom, la plus jouée. Il existe près de 130 formes de pastorales. La seule jouée en Français est la pastorale Audibert.

A_propos_des_crèches :

        elles sont visitées à partir du 25 décembre et sont obligatoirement démontées (lorsque la tradition est respectée) le 2 février, à la Chandeleur, jour de la purification de la Vierge et de la présentation de Jésus au Temple.

 

(commentaire relatif aux Crèches, M. Léon Doux 12 rue Violette à Avignon)

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Saint Valentin saint valentin

Exposition de cartes postales : Février et Mars

(Extraits)

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1er Avril poisson d'avril

Exposition de cartes postales

(Extraits)

1er avril 1er avril 1er avril 1er avril

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PÂQUES oh poule, donne moi des oeufs sinon c'est toi que je mange

Exposition de cartes postales

(Extraits)

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LES ASPERGES A LAURIS

Etiquette

        C’est autour de 1850 qu’un nommé Etienne Grangier venant de Robion épousait une jeune fille de Lauris. Le fait était banal, mais là où il l’était moins c’est que ces épousailles allaient transplanter à Lauris un des premiers producteurs d’asperges qui, jusque là, avait exercé une activité réduite dans la périphérie de Cavaillon.

        Rapidement cette récolte se développa. Ce fut pour certains de véritables et grandes fortunes. C’était une manne inespérée, un « eldorado » typiquement laurisien. Pensez vous ! « la Cour d’Angleterre, principal client de la Verte » !

        Le nom de Lauris, devenu célèbre grâce aux asperges, allait briller en lettres d’or sur le menu des Grands comme en témoignait le dîner offert par M. Lebrun, Président de la République française au Roi Georges VI d’Angleterre, au cours d’un voyage que celui-ci vint faire à Paris, un peu avant la guerre de 1939. Les asperges de Lauris y figuraient en sauce mousseline : on en parle encore à Lauris !

        Dans mes souvenirs, autour des années 30, nous allions encore à l’école, et les vacances étaient pendant les mois de juillet et d’août. C’était l’époque où nos pères et grands pères, avec des tombereaux tirés par des chevaux, allaient prendre du sable « alluvions » au bord de la Durance et ensuite le déposaient sur nos belles asperges. C’est alors, que nous, les jeunes d’environ douze ans d’âge, munis de pelles moins grandes que celles de nos Anciens, mettions toutes nos jeunes forces pour remplir rapidement le tombereau. Il m’en souvient, nous étions torse nu, bronzés par le soleil et en maillot de bain.

        Dès que notre père était parti pour aller vider le tombereau ,nous plongions dans la Durance qui était à deux pas. Ici, je voudrais faire une rétrospective très intéressante. Avant la guerre de 14-18, certains de nos ancêtres, les plus fortunés du pays avaient acheté des chaudières à charbon avec tuyauteries passant sous les châssis vitrés : il en existait encore, il y a peu de temps, près d’un cabanon. Cela leur permettait de récolter des asperges pour Noël, c’était la première chauffe, la deuxième chauffe étant début février. Des wagons entiers partaient tous les jours de la gare de Lauris !

        Après la guerre de 1939-1945, nous fûmes encore une poignée d’agriculteurs à replanter des asperges. L’exportation reprit sur Londres, mais elles partaient par train. A ce moment là, nous avions sur les marchés londoniens un concurrent sérieux : la Californie qui avec des asperges arrivant par avion, offrait de la marchandise plus fraîche que la nôtre. C’est à cette époque que les membres de notre syndicat, dont mon père était le président, décidèrent de conduire nos asperges laurisiennes à l’aéroport de Marignane, tous les soirs, pour les faire partir par avion.

        J’ai gardé des photos de 1951 sur lesquelles on peut voir, sur l’une ,un magnifique champ d’asperges recouvert avec les « fameux » châssis, sur l’autre un cageot d’asperges, prêt à partir pour Londres, tenu par mon père et Mme Parraud.

        Vers ces années là, la livre anglaise était beaucoup plus forte que notre franc : donc, au change cela représentait, environ 2 000 F le kilo : il n’y avait pas encore de francs lourds, somme qui équivaudrait aujourd’hui à 200 F le kilo. Nous en sommes très loin aujourd’hui, les asperges étant produites dans le monde entier.

        Il y a quelques années avant de prendre ma retraite, nous avions un champ d’asperges, près de la Durance. Nous étions cinq à six personnes par jour à travailler. Le matin nous creusions les asperges sous n’importe quel temps, même sous de fortes pluies. L’après midi se passait au garage pour les conditionner et les emballer dans des cartons. Elles partaient ensuite pour Rungis à l’intention des plus grands restaurants parisiens ainsi que pour les Allemands et les Belges venus les acheter sur place. Une année, un de nos vendeurs nous téléphone . Il lui fallait environ 50 kilos des plus belles que nous avions. C’était pour M. Chirac et ses Ministres au restaurant de la Tour Eiffel (il était alors premier ministre).

        Le 26 juin 1990, un article paru sur « le Monde » indique que parmi les asperges vertes du Midi les meilleures sont celles de Lauris. En gastronomie, je parlerai du Journal « Le Point » et d’Alain Ducasse qui possède deux grands restaurants 3 étoiles : l’un à Paris et l’autre à Monaco et qui préfère les Vertes aux Blanches. Alain de Beuilloux, célèbre gastronome dit pour sa part que la Verte est plus croquante, à un goût plus prononcé que la Blanche, plus suave, plus onctueuse.

        Pour terminer, préférer l’une à l’autre n’est qu’une question de goût.



D’après Léon Grégoire
Agriculteur laurisien à la retraite

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Lauris, des sens...ations sensations

Exposition de montages réalisés par Cathy Terris

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Les
Vendanges
vendanges

Le Temps des Vendanges

        La vigne n’avait jamais été abandonnée depuis l’antiquité bien que le blé fut plus indispensable à la survie. A la moisson succède donc en septembre les vendanges. Les vignes pour lesquelles les fermiers selon les contrats de bail doivent tous les ans faire des « cabus » (défonçage), « proviner » (marcotter) et « poudar » (tailler à la serpe) fournissent un peu de raisin à consommer frais et il semble que le muscat ait été particulièrement apprécié. En tous cas, le duc de Lesdiguières qui, contrairement à M. d’ Arlatan, ne tenait pas à s’encombrer de rentes en nature, sauf pour quelques dons de volailles, et ne touchait les revenus qu’en numéraire, s’était toutefois réservé 9 charges de muscat pour son usage personnel. Mais la vigne fournit surtout des « raisins à pendre », utile complément des nourritures d’hiver, et du vin. La culture de la vigne est un travail plus contraignant que celle du blé : il demande une très grande compétence –n’est pas vigneron qui veut, et le Laurisien ne l’était guère- et il s’étale sur toute l’année. Dans son livre de raison, Jean-François Bosse distingue trois périodes où il doit embaucher des ouvriers   le « cueillir des sarments » à 7 sous la journée, le « sarclaison » (sarclage) à 7 sous nourris et 8 non nourris et enfin la vendange à 8 sous.

        Soumis comme les céréales à la tasque et la dîme, le raisin doit lui aussi être récolté à la même date sur tout le territoire : celle-ci se situait au XVIIème siècle entre le 3 septembre (1669) et le 8 octobre (1690) selon le temps qui avait précédé : le seul grand danger comme aujourd’hui étant alors la grêle. Celle, « fort grosse » qui s’abattit le 7 juillet 1641, balaya tout le territoire depuis la Rialle, Tradeven, le Fraisse en direction de Lourmarin détruisant vignes et oliviers, des dégâts estimés à 3 000 écus. « Je prie Dieu appayser son ire et nous faire miséricorde par la mort et la passion de son fils, Jésus-Christ », ajoute Messire Anthénosy, prouvant ainsi l’ampleur de la catastrophe. Il y en eut d’autres mais les archives n’ont gardé que la trace de celle de 1725 où, à la différence du siècle précédent, les communes furent aidées par l’Assemblée des communautés ; elle dégagea une subvention de 20 000 livres dont Lauris ne toucha que 150 modestes livres.

        L’obligation fiscale de vendanger à la même date sur tout le territoire quelle que fût l’exposition des parcelles présentait encore plus d’inconvénients que la moisson ; elle est donc moins bien acceptée : le raisin est plus fragile, sa maturation plus délicate et les intempéries plus fréquentes en septembre. Ainsi en 1640, le conseil avait fixé la date au 17 septembre mais les habitants viennent se plaindre de ce que les raisins peuvent se gâter à cause des « eaux pleuviales » et l’on avance au 12. Il est vrai qu’une petite partie seulement du territoire était soumise à la tasque, mais, une fois commencées les vendanges, il fallait bien tout ramasser d’un coup. Le conseil n’acceptait pas toujours : en 1650 il refuse d’avancer du 28 au 20 septembre : de même en 1692, des paysans sont mis à l’amende pour avoir vendangé le 28 septembre alors que le raisin n’est pas mûr et la vendange fixée au 6 octobre.

        Comme pour le blé, les comptes de Jean-François Bosse nous renseignent seulement sur la date à laquelle, tout étant terminé, il règle les hommes qui ont foulé et Delan, son homme de confiance : elle se situe entre le 8 et le 16 octobre, exceptionnellement le 4 (1741) et, pour des raisons difficiles à expliquer, sauf un retard dans les règlements, entre le 20 et le 26 octobre de 1770 à 1776.

        De nouveaux collecteurs étaient nommés. Tandis que celui de la tasque allait faire le choix des grappes, maître Bosse préparait tout pour la fabrication du vin : nettoyage des cuves du marc de raisin de l’année précédente et des tonneaux nourris ensuite d’une coupe de vin (environ 20 litres), vérification des bouchons et des étoupes. Il embauche tout le monde pour ce travail : en 1771, sa belle-sœur lui rapporte d’Aix un robinet. Il fallait près d’une semaine pour le travail de préparation et ensuite 3 journées de deux hommes pour fouler le raisin. Ce foulage se faisait dans certains cas avec des mulets ou des bœufs mais pas chez M. le Baron où l’on emploie des hommes. Enfin une journée de deux hommes suffisait pour mettre en tonneaux. La quantité recueillie pour la tasque tournait autour de 35 charges ( 35 hl).

        La quantité de vin admise dans les pensions alimentaires allait d’une charge (environ 100 litres) à trois charges… et in pour le lieutenant de dragons, François Terris, ce qui représente presqu’un litre et demi par jour.

        Le vin obtenu n’était pas de qualité supérieure, ce qui ne gênait personne : on avait l’habitude de le boire étendu d’eau ; aussi M. d’Arlatan lui-même n’en prenait–il pas pour sa consommation personnelle. Dans le meilleur des cas, il en faisait livrer à ses rentiers de la bastide de la Verrerie au Puget ou saisissait l’occasion d’un événement, tel son mariage avec Mlle de Galiffet, pour « donner au peuple » un tonneau. Mais d’une façon générale, c’était à maître Bosse d’en tirer le meilleur parti. Or ce vin, parmi d’autres inconvénients, se gardait mal car les raisins cueillis souvent trop tôt, ce qui était le cas dans presque toute la France jusque vers 1730 et mal triés donnaient un vin qui tournait rapidement à la piquette. Il semble qu’à Lauris cela eut été pire : lorsqu’en 1652 on voulut empêcher certains Laurisiens qui « vount journellement quérir de vin hord de ce lieu » pour le revendre, ces derniers se défendent en disant « ne voloir pouint acheter de celuy que la cause que le vin de crut ce gasten ». Enfin, une fois le tonneau entamé le vin s’aigrissait au contact de l’air car il n’était pas question de mettre en bouteilles dont le coût était beaucoup trop élevé bien que Jean-François Bosse eût quelques bouteilles qu’il répartit soigneusement dans son testament de 1778 : chacun de ses neveux en aura 12. Pour toutes ces raisons il fallait vendre le vin aussi vite que possible. Maintes fois, ce même Jean-François Bosse note dans son compte que « le restant est resté dans le tonneau, personne n’en a voulu » ou « le vin de l’an dernier est gâté ».

        La vente se faisait en sa demeure « à pot et à pinte » d’abord par lui-même puis par sa servante, bien heureux quand il se trouvait quelque cabaretier pour lui acheter un tonneau entier car cela faisait beaucoup d’allées et venues dans la maison : si bien qu’en 1749, pour s’éviter tous ces tracas, il le fit vendre au dehors de cher lui par Antoine Roubert ; il perdit 10 % de la vente et ne renouvela pas l’expérience.

(extraits du livre de Bernadette Genès « Natifs de ce lieu »)

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Les
"poilus"
guerre 1914/1918

Tous les mois de novembre :

exposition d’agrandissements de cartes postales sur les « poilus (guerre 1914-1918)

      Vous trouverez ci-dessous quelques exemples de correspondances de la famille de Cathy.
            Juliette JEAN : sa grand mère maternelle,
            Théodore JEAN : son arrière grand père,
            Auguste Carbonnel : son grand oncle.)

 

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Poissons

d'Avril

guerre 1914/1918


      Avec ces quelques exemples que vous trouverez ci-après, n’oublions pas ces cartes postales d’autrefois qui souhaitaient le 1er avril de façon si touchante et si …. particulière.

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Paques 2009

guerre 1914/1918


En mars et avril

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La terrasse est à votre disposition
du mois de mai au mois d'octobre.

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